Category: Défense des arbres

“L’œuf du serpent est toujours fécond”

La dénonciation “ad nominem” est un procédé abject et déshonorant qui laisse supposer que le camp des “bons élagueurs” s’oppose au camp des “mauvais” élagueurs !! Les “bons élagueurs” auraient-ils le droit d’insulter les “mauvais élagueurs” ?

Cette attitude de hurlement de meutes constitue une insulte à la dignité humaine -L’histoire de notre monde est jalonnée d’histoires sordides.

Il faut plutôt s’interroger sur les conditions qui rendent possibles la dégradation du patrimoine arboré et parfois (souvent?) de son amélioration –

L’ubérisation de la société donne une possibilité d’accès à un très grand nombre de métiers.

La tache des plateformes professionnelles (associations, centre de formation, revues, syndicats, fournisseurs) est de faciliter le dialogue dans un esprit de transmission des connaissances et parfois de contradiction.

Mais, en aucun cas le Groupe Face Book “Arboriste grimpeur” ne peut tolérer un “lynchage” symbolique et une mise en cause personnifiée -Les gens ont le droit de vivre, même ceux qui ne savent pas qu’ils ne savent pas.

La défense de l’environnement et la protection de l’arbre demeurent des sujets prioritaires – La dénonciation publique de tel ou untel est une attitude condamnable et insultante –

Le modérateur du groupe peut rappeler les critères éthiques qu’il convient de respecter –

Dans le cas contraire les débordements “vomitifs” sont sans limite –

“L’ oeuf du serpent est toujours fécond”

Pierre Lacarrère

Micoucouliers mutilés à l’école de Grasse : ” Les Jasmins”

A l’Attention de Madame la Principale,
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L’école représente un territoire géographique à l’intérieur du quel la connaissance et l’homme en devenir se rencontrent et s’apprivoisent.

C’est un espace qui bénéficie d’un statut singulier dans l’organisation juridique de notre société en décidant de respecter des valeurs inaliénables de notre république : liberté – égalité – fraternité.

Or, considérant que les idées n’existent que dans le réel dans lequel elles s’incarnent, nous manifestons notre curiosité lorsqu’il s’agit de constater les mutilations arboricoles réalisées, à l’instant où nous vous écrivons, sur deux micocouliers situés le long du grillage ouest de l’école.

La domestication de la nature ou l’intention de la dominer doivent-elles nécessairement se traduire par son tropisme destructeur ? 
Cette inutile et dévastatrice intervention d’élagage produit deux effets :
1. la mutilation arboricole s’impose dans les esprits comme étant une intervention normée conforme à un savoir commun

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Un des 2 micoucoulier de l’école

2. et il contredit la connaissance que nous possédons sur le fonctionnement des règles qui gouvernent le développement du végétal.

Que doivent penser les enfants et leur entourage parental sur le modèle arboricole déshonorant que l’école leur présente ?

Lorsque le candide regarde les arbres, est-il convaincu du bien fondé de l’intervention de taille ?
L’homme de la rue, le visiteur occasionnel ou le public en général, est-il en mesure de porter un regard enchanteur sur la nature ?

Que lui inspire le spectacle déshonorant d’un alignement d’arbres inutilement mutilés ?

Comment comprendre que cette dégradation arboricole constitue une incohérence à la culture scientifique et à notre engagement professionnel investi dans le souci de placer nos connaissances au service du respect de l’arbre ?
Nous nous interrogeons sur les raisons qui conduisent des opérateurs à effectuer des actes qui ne sont pas conformes avec les normes de l’arboriculture ornementale.  
Conscient des enjeux que représentent la connaissance de notre environnement, des causes qui la dégradent et des acteurs qui la préservent, nous sommes professionnellement et personnellement en phase avec ces problématiques.

Notre activité en qualité d’arboriste grimpeur et secrétaire général de l’association SEQUOIA (cercle de qualité) ne dissocient pas la connaissances des règles ontogéniques qui gouvernent le développement sain du végétal avec l’exercice de cette connaissance biologique sur le terrain.
L’arboriste grimpeur est un élagueur inscrit dans un processus constant d’acquisition de compétences, respectueux d’une charte de qualité destinée à préserver l’arbre dans notre environnement. Il lutte contre les mutilations arboricoles qui soulignent l’existence des idées reçues et des pensées magiques qui sont nombreuses et répandues.

Nous sommes à votre disposition pour vous rencontrer afin de vous proposer de casser la spirale des malentendus, des croyances et des vulgates qui circulent sur  l’arbre. 
Nous possédons plusieurs supports médiatisés qui favorisent la diffusion de la connaissance pour un public néophyte.
Il nous semble important d’établir un contact afin de vous apporter des éléments d’informations issus de la culture scientifique qui viennent contredire la culture de la coutume célébrant ainsi la féroce morsure des idées reçues.
En espérant que vous serez sensible à la beauté de la nature, à son respect, à son insolite harmonie et à la transmission des connaissances qui la gouvernent, nous sommes à votre disposition pour vous rencontrer afin que la volonté de connaitre submerge la culture du déshonneur.  
Restant dans l’attente du plaisir de nous rencontrer, nous vous adressons, Madame, l’expression de nos sentiments distingués.
Pierre Lacarrère (Secrétaire Général de SEQUOIA)
Marc Duplan (Président ANDA)

les arbres sous latitude : Vérité au delà des Alpes, abandon de connaissance en decà

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Et si l’élagueur n’était finalement qu’un fossoyeur végétal, qu’un exécuteur biologique sans scrupule, qu’un opérateur clownesque se donnant l’apparence d’un chirurgien de kermesse ?
Comment distinguer dans une population opacifiée, les thuriféraires incarnant le cercle vertueux de la connaissance de ceux qui, soutenus par un outillage bruyant, pratiquent le cercle vicieux mais rémunéré de l’incompétence ?
Aux quels des deux groupes d’invididus peut-on attribuer la désolation arboricole et faire porter la réalité d’un patrimoine arboré mutilé ? Il est facile pour un observateur néophyte de constater le déshonneur de l’arbre sur l’ensemble de nos communes du département. Alors comment comprendre et expliquer cette triste réalité qui nous impose de voir des arbres nanifiés, tronçonnés, mutilés, désaxés, dépouillés de leur feuillage, privés de leur architecture, rabattus et finalement déclinants ?
Je range dans la catégorie des mutileurs et des coupeurs de branches une immense majorité d’opérateurs qui ne « savent pas qu’ils ne savent pas ». C’est l’évidente expression de l’ignorance et de son incarnation dans le réel. Ces ignorants pullulent et sont impossibles à localiser car ils désertent les centres de formation, les structures associatives et les manifestations sportives illustrées par les championnats. L’élagueur invisible représente une nuisance dans le paysage d’une profession non réglementée. Installé dans un biotope relationnel depuis des années et bénéficiant d’un appui informel d’une institution administrative déconnectée du monde vivant, l’élagueur incompétent bénéficie d’un formidable crédit de « fausse compétence » pour réaliser dans les arbres des actions autant inutiles que sacrificielles.
Certaines communes du département sont « ontogéniquement » sinistrées. La commune de Roquefort les Pins est caractéristique d’une situation dans la laquelle domine un paradoxe épistémologique qui rend possible l’exécution de l’ignorance. En effet, la réalité des nombreux arbres mutilés contredit la littérature scientifique et donc fait mentir la connaissance que nous possédons sur les règles complexes qui gouvernent et organisent le développement coloniaire du végétal.
Pourquoi la commune de Roquefort les Pins est caractérisée par « la perte de connaissance » tandis que la commune de « Le Vésinet (78) » célèbre la connaissance du monde de l’arbre ? Au Vésinet, les actions arboricoles sont soumises à une autorisation délivrées par un arboriste de la mairie qui maîtrise le sujet car il privilégie la raison et l’intelligence en harmonie avec son homologue arboriste-grimpeur.
Ajourd’hui, il est vain et puéril de plaider l’ignorance et la perte de connaissance. Il n’est pas justifiable, à la lumière des preuves scientifiques qui sont facilement accessibles, de persévérer dans l’incompétence et dans l’aggravation de la laideur arboricole des paysages. Or, comment cela est-il encore possible dans le sud-est tandis qu’ailleurs la gestion du patrimoine arboré est réalisée dans des conditions où se superposent la connaissance et la pratique ? A partir de quel moment, les élus et les administrés vont-ils prendre conscience de la nécessité de cesser de fabriquer du désastre irréversible sur les arbres d’ornement mais aussi dans les oliveraies ?
Lorsque le pilote d’avion est embauché dans une compagnie, il lui est recommandé d’appliquer dans le réel les connaissances qu’il a apprises au cours de ses formations. Le raisonnement est le même pour le chirurgien, le dentiste, et le maçon. Ces attitudes cognitives rendent service à la société. Comment peut-on imaginer que cette construction intellectuelle ne s’applique pas à la profession de l’élagueur ? Quelle est la logique ou la raison irraisonnée qui conduisent l’opérateur dans les arbres à exécuter des actions qui insultent le savoir ? Un nombre considérable d’idées reçues circulent sur le monde de la dendrologie. « Ceux qui ne savent pas qu’ils ne savent pas » sont responsables d’une situation dans laquelle dominent l’empirisme, l’aléatoire et la laideur. Ils sont nombreux et font du tord à ceux qui savent que les autres ne savent pas.
La profession de l’élagage est une profession réglementée dans le protocole de son usage et de ses équipements. En revanche, le contenu des connaissances demeure un accessoire non sélectif. Les centres de formations jettent en France, tous les ans, environ un millier de jeunes professionnels à qui on offre un droit sans limite de « casser la gueule aux arbres ». Au bout d’un certain temps, cela représente une population importante. Il suffit de lever la tête et de constater les dégâts.
Cette situation ne peut pas durer – La profession a le devoir de s’organiser, notamment au travers de ses structures syndicales et représentatives sur le territoire. Il est justiciable de casser du mobilier urbain mais il est économiquement profitable de ruiner l’architecture d’un arbre – Ce paradoxe rend possible la délinquance arboricole sur nos territoires – C’est possible dans certaines poches régionales en France, notamment dans le sud et dans le basin Grassois, mais c’est impossible ailleurs : Paris, Lyon, Nancy, Versailles, Le Vésinet, Lille, Genève, Montréal, San Francisco et plus généralement en Angleterre, en Allemagne mais aussi en Autriche … – Donc, ailleurs c’est autrement – il est important de constater que les gestionnaires superposent la connaissance et la pratique : on apprend et on agit ensuite. Chez nous, c’est la réalité de la juxtaposition des valeurs qui s’expriment au détriment de sa superposition. Les centaines de photos illustrants ce paradoxe constituent des preuves visuelles non contestables. C’est la célébration vicieuse et irresponsable du détournement des vertus qui justifient cette prédation sans que personne ne manifeste une contestation. « Mutilons les arbres et continuons de payer pour accélérer leur déclin ».
La France est découpée administrativement en 36.000 communes dont 85 % sont composées de moins de 2500 habitants. Il est techniquement impossible pour ces communes de maitriser le sujet et de corréler les demandes d’un public néophyte et les bonnes pratiques réalisées par un élagueur savant. Elles sollicitent donc des élagueurs circonstanciés pour exécuter des demandes insensées dont le résultat est souvent un désastre et rarement un acte réfléchi.
L’équipement destructeur de l’élagueur fabrique la prédation arboricole : le broyeur des végétaux et la tronçonneuse accélèrent considérablement les velléités destructrices de l’opérateur sur le végétal.
Le béotien évalue la capacité professionnelle du prestataire sur la dimension flamboyante du matériel. La capacité professionnelle et l’apparente compétence sont jugées sur la montagne végétale qui repose au sol. Le volume de matière végétale emportée par le matériel constitue la variable d’ajustement pour se faire une idée positive du « gars qui est venu élaguer les arbres »…… Il y a donc un accord parfait entre les idées reçues, les stéréotypes biophiles, la vulgate dominante et la réalité visible du résultat observable. Mais au juste, comment va réagir la cellule végétale ? Sans ramification pour porter le feuillage, que va-t-il se passer dans l’avenir ? Les incidences sur le système racinaire sont ils important ? La réduction des houppiers est -elle considérée comme étant un avantage pour l’arbre ? Peut-on corréler la taille de l’arbre et son potentiel de développement ? Une action qui consiste à supprimer les axes et la surface photosynthétique renforcent-elles l’arbre ? Quelle est la fonction du feuillage dans les propriétés hydrauliques de l’arbre ? Les questions sont relativement peu fréquentes – Cependant, les réponses techniques et scientifiques mériteraient une réponse si elles étaient posées – Le propriétaire des arbres ainsi renseigné serait susceptible de manifester un désaccord singulier s’il obtenait les réponses scientifiquements correctes à ses questions. Mais ce n’est jamais le cas. A titre d’exemple, une action mutilante sur un arbre est pénalisable sur le canton de Genève –
Le tropisme destructeur est rémunéré sur les communes du département des Alpes Maritimes. La démarche raisonnée et la réflexion sont recommandées dans le canton de Genève : vérité au delà des Alpes, tromperie en deçà ……
En outre, dénoncer auprès d’une mairie, des mutilations réalisées sur des arbres d’ornement provoquent des injures, des propos orduriers et des menaces physiques chez nous – Les voyous arboricoles sont appréciés et référencés – les observateurs instruits sont vilipendés et montrés du doigt. Ailleurs, c’est un remerciement – Donc, ailleurs c’est encore et toujours autrement.
Appréhender la matière vivante comme étant l’expression d’un système complexe qui nécessite une observation attentive et un corpus de connaissance pour assimiler ses nuances, représente une attitude qui privilégie l’intelligence et la raison. En revanche, ignorer la biosphère, pratiquer le brulage des végétaux, utiliser des pesticides, mutiler les arbres et sanctionner la végétation de manière systématique constituent, selon moi, l’expression d’un regard désenchanté sur le monde.
L’arbre, considéré comme un étant un thermorégulateur naturel par la totalité du monde scientifique connait sous nos latitudes un funeste et déplorable destin. Il est préférable, pour l’équilibre de notre environnement et la paix de nos consciences de privilégier des opérateurs compétents, inscrits dans un processus récurrent d’acquisition de connaissances plutôt que de pratiquer la courte échelle à des illusionnistes déguisés en grimpeurs, souvent dissimulés derrière une impressionnante armada technologique. Un arboriste qui maitrise le champ de son activité produit peu de rémanent dans le cadre d’une intervention raisonnée sur un arbre – Son homologue comique sera satisfait et encouragé lorsque l’abondante végétation chlorophyllienne peine à rentrer dans son camion. Esthétisme et valorisation de l’arbre dans un cas, destruction et valorisation du mystificateur dans l’autre. La connaissance de l’un, enrichie par les lectures et l’expérience, peine à exister face à l’empirisme et à l’illettrisme de l’autre. Les photos et la réalité ne font pas mentir l’analyse.
Si, le pantin pendu à sa corde était minoritaire et insignifiant il ne mériterait pas notre désapprobation. Malheureusement, le sytème rend possible la matérialité du désastre de l’arbre. Cette réalité est étrange autant qu’insolite. Tourner systématiquement le dos au corpus ne renforce pas la connaissance du public et des élus. Nos sociétés pratiquent la célébration de la matière inerte et pratiquent la culture hors sol. Pour cette raison, l’utilisateur compulsif de la tronçonneuse appartient à une population nombreuse et répandue sur toute la France. Ils sont plus nombreux que nous. Ils connaissent une progression métastatique. La pathologie du savoir réside dans le principe qu’ils croient savoir.
Pour sortir d’une situation dans laquelle l’indigence se dispute à la laideur, il est nécessaire d’identifier les facteurs symptomatologiques d’une spirale du déclin qui affolent les saines entreprises d’élagage. Il est prudent de formuler des propositions issues de tous les acteurs de la profession. Parmi les idées majeures susceptibles de créer une dynamique de renversement, figurent un ensemble d’idées :
1. établir un moratoire national sur les interventions arboricoles
2. s’inspirer des modèles de gestion existant dans les métropoles de Versailles, Lyon, Paris, Lille
3. Adopter la gestion différenciée et la charte de l’arbre comme paradigme dans toutes les communes de France
4. Placer l’Arbre d’ornement au coeur des dispositifs esthétiques des paysages urbains
5. Former le personnel municipal à une connaissance équilibrée et maitrisable de l’arbre
6. créer un label de « maitre arboriste » pour valoriser le monde professionnel de l’élagage
7. Suggérer à chaque municipalité (35.000 communes) d’élire dans la commune, au moins, un arbre remarquable
8. Utiliser ce dispositif électif pour communiquer, avec une population déconnectée, sur les avantages innombrables que représente un arbre dans un biotope – l’arbre comme régulateur de la température urbaine
9. Valoriser les formations existantes, élever le niveau de connaissance, accentuer les formations qualifiantes (le Caducée de l’Arbre, et l’atelier de l’Arbre)
10. Développer les cercles de qualités pour rendre visible auprès du publics bonnes pratiques de l’arbre
11. créer un dispositif fiscal favorisant le passage aux machines électriques afin de diminuer l’anthropophonie (la nuisance sonore des machines humaines)
12. Identification des acteurs de la profession sous la forme d’une licence de compétence ou d’un permis spécifique donnant accès aux arbres
13. Programme de maintien à l’emploi des élagueurs qui savent essentiellement mutiler les arbres et abimer le paysage afin de leur donner l’opportunité de s’inscrire dans un processus d’acquisition de connaissances, permettant, ainsi aux meilleurs de continuer et aux indigents de descendre des arbres
Le métier singulier de l’élagage repose en réalité sur le principe d’une injonction paradoxale.
Celui qui sait et qui comprend le fonctionnement d’un arbre, sait qu’une intervention anthropique constitue un dérangement ontogénique et provoque un chaos architectural.
Celui qui sait et qui comprend l’arbre, saura préserver le végétal en expliquant qu’il est souvent utile de ne rien faire ou si peu ……..
C’est le principe de l’injonction paradoxale : plus je sais que je sais, même si la connaissance est balbutiante dans ce domaine, moins j’interviens dans le système et plus le système durera longtemps. La réalité cognitive de cette injonction paradoxale constitue une impasse économique.
Mais le métier de l’arboriste couvre un périmètre plus vaste que celui qui consiste à raccourcir les branches et à supprimer le houppier d’un arbre. Il inclue la maitrise du protocole de plantation, la connaissance des végétaux, leur association et leur dissociation, l’aménagement spatial, la sélection des taxons, la taille de formation à la plantation, contraindre ou accompagner le développement coloniare du végétal, le métissage des professions déconnectées (voirie, concessionnaire, syndic, espaces communal……)
Sans la volonté affichée et déterminée d’un ensemble d’acteurs de la profession bénéficiant d’un épaulement législatif capable d’agir sur le terrain pour initier un mouvement vers un autre cap, la réalité du patrimoine arboré connaitra des contradictions géographiques significatives. N’est-ce pas déjà le cas dans le sud-est ?
Dans quelle coin du département est-il possible de se soumettre au rituel de la tradition japonaise du « momijigari » qui consiste à adopter une attitude de contemplation du feuillage d’un arbre à l’automne ?

Pierre Lacarrère 12 juillet 2016